Rechercher ici :

Bouddha


Tout nos maîtres éveillés sont Le Bouddha en personne.

Le Maître c'est votre miroir,
car il est difficile de voir sans outil ou moyen approprié notre propre visage de vérité primordiale,

Le Maître c'est votre guide qui connaît le chemin,
car il l'a parcouru et en a déjà déjoué tous les pièges,

Le Maître vous aidera à trouver votre propre voie de libération,
mais il ne pourra pas faire le chemin à votre place.

L’éveil est possible si, ayant rencontré un maître authentique, on se fie à son enseignement, l’ayant mis à l’épreuve de notre propre expérience, en appliquant cette éthique (ou discipline), patiemment (en endurance-tolérance), diligemment (avec enthousiasme pour dans les actes positifs), méticuleusement (concentré dans le soin attentif) par le discernement (de la sagesse connaissante).

Notre condition spirituelle issue, au cours de nos vies, de nos mérites et sagesse nous en fait rencontrer les émanations les plus adaptées à notre condition présente de chaque instant de manière à ce que l'enseignement, dont nous sommes authentiquement prêts à recevoir la quintessence, nous soit alors accessible.

L’authenticité concerne autant le maître que l’étudiant, l’un ne peut aller sans l’autre.

C'est ainsi que dans nos vies nous rencontrons un maître, un jour, par qui tout devient si simple et si évident qu'on en reste assis ! (pour être poli). Il nous fait rencontrer d'autres grands érudits et pratiquants plus avancés qui nous instruisent à leur tour. Car il est vrai que de nos jours rares sont ceux qui ont le privilège, ou plutôt le mérite, de vivre quotidiennement auprès d'un maître toute leur vie.

Nos précieux maîtres nous apprennent à révéler et à écouter le Maître intérieur, la nature éveillée de l'esprit, commune à tous les êtres sensibles sans exception, car tous du monde des dieux au tréfonds des enfers sont des bouddhas potentiels, ou des bouddhas réalisés s’ils ont embrassé le samsara (le conditionnement à la souffrance) co-expérimentant alors, avec Sagesse, douleur ou inconfort (sans en souffrir) par grande Compassion.

-=oOo=-

Hommage aux précieux maîtres !


En effet, les Précieux Maîtres détenteurs du Dharma nous apprennent à révéler, à développer et à écouter le Maître intérieur, notre nature éveillée ou de Bouddha.

Vous présenter mes maîtres et confesser ce qu'ils m'ont apporté est leur rendre hommage et témoigner de mon infinie gratitude.

Si vous n'êtes pas pratiquant du Dharma, l'enseignement du Bouddha, je souhaite que cet exemple de relation Maître(s)-Disciple(s) ou Maître(s)/Étudiant(s)-Pratiquant(s) de l’Eveil, permettra d'effacer les fausses vues occidentales concernant cette relation pure et précieuse.

Si vous êtes un pratiquant du Dharma depuis peu et que vous cherchez votre Maître racine (principal ou source d’éveil), je souhaite que la description de cette expérience vous aidera à ne plus être dans l'attente et de le voir déjà là présent en votre quotidien.

-=oOo=- 

Mes Principaux Maîtres

Voici donc dans l'ordre chronologique de mes rencontres, les maîtres auxquels je suis liée de manière pure et authentique (samaya) :


Sogyal Rinpoche

C’est le premier maître authentique que j'ai rencontré et je lui suis infiniment reconnaissante d'avoir clarifié tant de choses en un instant. La compréhension, la voie tant recherchée était là (à moins d'une nouvelle illusion) une chape de plomb, un épais brouillard c'était envolé, dissous, et je pouvais m'engager dans le Dharma sachant de quoi il s'agissait exactement.

Tout ce que j'avais pu lire du Dharma et vivre dans la vie auparavant prenait un sens clair et concret. C'est, en effet, par ses enseignements, ses ouvrages et par ceux des Maîtres et Disciples qu'il évoque, invite ou recommande que j'ai pu étudier et purifier ma compréhension, mes perceptions.

-=oOo=- 

À PROPOS DE SOGYAL RINPOCHÉ (copié-collé de son site) :


Au Tibet, il existe une tradition de reconnaissance des incarnations des grands maîtres décédés. Sogyal Rinpoché a été reconnu comme une incarnation de Tertön Sogyal Lerab Lingpa.

Enseignant bouddhiste tibétain de renommée mondiale, Sogyal Rinpoché est également l'auteur du très célèbre Livre tibétain de la vie et de la mort .

Né au Kham, dans le Tibet oriental, Sogyal Rinpoché a été reconnu très tôt comme l'incarnation d'un grand maître et saint visionnaire du XIXe siècle, Tertön Sogyal Lérab Lingpa (1856-1926), enseignant du treizième Dalaï Lama.

Il a suivi la formation traditionnelle d'un lama tibétain sous la supervision étroite de Jamyang Khyentsé Chökyi Lodrö, l'un des maîtres spirituels les plus remarquables du XXe siècle, qui a élevé Rinpoché comme son propre fils. Il a ensuite étudié avec de nombreux autres grands maîtres, de toutes les écoles du bouddhisme tibétain, notamment Kyabjé Dudjom Rinpoché et Kyabjé Dilgo Khyentsé Rinpoché.


Un jeune Sogyal Rinpoché
avec Jamyang Khyentsé Chökyi Lodrö




Sogyal Rinpoché traduit pour Dudjom Rinpoché à Chelsea, Londres, 1979

En 1971, Rinpoché se rendit en Angleterre, où il étudia la religion comparée à l'Université de Cambridge. Tout d'abord en tant que traducteur et assistant de ses maîtres vénérés, puis enseignant à part entière, Rinpoché a parcouru de nombreux pays, observant la vie quotidienne des gens et cherchant comment traduire les enseignements du bouddhisme tibétain de manière à les rendre plus pertinents au monde moderne. les hommes et les femmes de toutes les confessions, en tirant leur message universel sans rien perdre de leur authenticité, de leur pureté et de leur pouvoir.

De là est né son style d'enseignement unique et sa capacité à adapter ces enseignements à la vie moderne, ce qui a été démontré de manière si vivante dans son livre novateur, Le Livre tibétain de la vie et des morts . Plus de 3 millions d'exemplaires ont été imprimés dans 34 langues et le livre est disponible dans 80 pays.

Sogyal Rinpoché a fondé Rigpa, un réseau de centres et de groupes proposant les enseignements du Bouddha par le biais de cours et de séminaires sur la méditation et la compassion, ainsi qu'une voie d'étude et de pratique complète qui suit chaque étape des enseignements du Bouddha.

Rinpoché enseigne depuis plus de 40 ans en Europe, en Amérique, en Australie et en Asie. Il a pris sa retraite en tant que directeur spirituel de Rigpa en 2017. Il est actuellement en retraite et ne donne pas d'enseignements au public.

Depuis le départ à la retraite de Sogyal Rinpoché, Rigpa continue à proposer des cours, des programmes, des séminaires et des retraites dirigés par ses professeurs et instructeurs, ainsi que des professeurs invités et des lamas, issus en particulier de la «vieille» tradition du bouddhisme tibétain.

© 2018 Sogyal Rinpoché - BiBliographie élargie :

PETITE ENFANCE ET ÉDUCATION

Rinpoché est né en 1947 dans la famille Lakar de la région de Trehor dans le Kham, au Tibet oriental. Jamyang Khyentse Chökyi Lodrö l'a reconnu comme l'incarnation de Tertön Sogyal et a supervisé son éducation au monastère de Dzongsar. Il a étudié des sujets traditionnels avec plusieurs tuteurs, dont Khenpo Appey, qui a été nommé tuteur par Jamyang Khyentse Chökyi Lodrö.

Rinpoché a fréquenté une école catholique à Kalimpong, en Inde, puis une université à Delhi avant de venir en Occident. En 1971, il obtint une place pour étudier la religion comparée au Trinity College, à Cambridge, en tant que chercheur invité.


Sogyal Rinpoché (à gauche) a aidé à organiser
la première visite du Dalaï Lama à l'ouest en 1973


Il continua à étudier avec de nombreux maîtres de toutes les écoles du bouddhisme tibétain, en particulier Dudjom Rinpoché, Dilgo Khyentsé Rinpoché et Nyoshul Khen Rinpoché. Il a commencé par traduire pour Dudjom Rinpoché à Kalimpong et a ensuite poursuivi dans le rôle de son traducteur en Europe et lors d'une tournée aux États-Unis.

En 1973, il a aidé à organiser la première visite de Sa Sainteté le Dalaï Lama en Occident à Rome, qui comprenait une audience avec le pape Paul VI.

ENSEIGNER ET ÉTABLIR RIGPA


Orgyen Chöling, Kilburn, Londres 1975

Sogyal Rinpoché a commencé à enseigner à Londres en 1974. Son centre, une maison de Kilburn, s'appelait à l'origine Orgyen Chöling. Le nom a ensuite été remplacé par Dzogchen Orgyen Chöling. Dudjom Rinpoché a également demandé à Sogyal Rinpoché de s'occuper de son centre de la rue Burq à Paris, ouvert en 1978. En 1979, Sogyal Rinpoché a choisi pour son travail le nom de Rigpa, la nature la plus essentielle de l'esprit.

Rigpa a rapidement établi un calendrier annuel de séminaires plus longs, appelés retraites, avec Sogyal Rinpoché et d’autres enseignants dirigeant des événements en France en été, en Californie à Thanksgiving, en Allemagne en hiver, puis à Myall Lakes en Australie, puis en Angleterre à Pâques. La première manifestation hivernale à Kirchheim en Allemagne a eu lieu en décembre 1986, les retraites annuelles à Tiona Park en Australie ont commencé en 1989 et la première retraite de Thanksgiving aux États-Unis a eu lieu à Oakland en 1988.

En 1987, Rinpoché fut invité à devenir directeur spirituel du centre du comté de Cork, dans l'ouest de l'Irlande, qui devait devenir Dzogchen Beara, le premier centre de retraite de longue durée de Rigpa. En 1991, Rinpoché a fondé le centre de retraite de Lérab Ling, près de Montpellier, dans le sud de la France. La première retraite de trois mois a eu lieu dans cette ville en 1992. Un centre à Berlin, Dharma Mati, a été officiellement ouvert en octobre 2007.


DANS L'EST

Atterrissage à l'aéroport de Paro, Bhoutan

Rinpoché a enseigné en Inde, notamment à la Fondation pour la responsabilité universelle de Sa Sainteté le Dalaï Lama à Delhi. Il enseigne également dans les régions himalayennes du Sikkim, où il a vécu une partie de son enfance, et au Bhoutan.

Il enseigne chaque année au Bhoutan depuis 2007 et ses enseignements y sont régulièrement retransmis à la télévision. Lyonchen Jigme Yoser Thinley, premier Premier ministre du Bhoutan et défenseur de sa philosophie du bonheur national brut, assiste régulièrement aux enseignements de Rinpoché.

Sogyal Rinpoché a déclaré que l'enseignement au Bhoutan est une priorité, car il s'agit du seul pays indépendant du bouddhisme Vajrayana au monde. Il a également déclaré que «la jeune génération d'aujourd'hui dans la région himalayenne doit comprendre le Dharma de manière pratique» et que «comprendre le Dharma de manière réelle est une partie importante et essentielle du développement du Bhoutan».

En 1998, l’abbé Sherab Özer Rinpoché, lors d’une cérémonie en France, offrit officiellement au trône du monastère de Tertön Sogyal au Tibet, le monastère de Kalzang.

ENSEIGNEMENT

Selon Stephen Batchelor, Sogyal Rinpoché "est connu pour son sens de l'humour, son énergie infatigable, sa franchise et son excentricité périodique". Dans ses enseignements, il se concentre souvent sur la compréhension bouddhiste de l'esprit et sur ce que la tradition tibétaine appelle la nature de l'esprit, la conscience primitive ou rigpa , ainsi que la méditation en tant que moyen de réaliser finalement la nature de l'esprit. Un autre sujet commun est la mort et la mort, qui est l’un des thèmes principaux de son livre, Le Livre tibétain de la vie et de la mort .

Dans ce qu'il considère comme une continuation du mouvement non sectaire Rimé (Tib. Ris med ), qui a pris de l'importance dans l'est du Tibet au XIXe siècle, il s'est fréquemment référé aux enseignements de toutes les traditions tibétaines et a également cité des sources non tibétaines. des sources telles que le Dhammapada et des enseignants appartenant à d'autres traditions telles que le maître zen Shunryu Suzuki. Il a écrit:

« Je pense qu'il existe un parallèle intriguant entre l'extraordinaire richesse de la culture spirituelle du Tibet à l'époque des grands pionniers de ce mouvement Rimé, tels que Jamyang Khyentse Wangpo et Jamgön Kongtrul, et la grande variété de lignages que nous trouvons aujourd'hui en Occident. . À certains égards, la vision Rimé offre un modèle de la façon dont le Dharma doit continuer en Occident et en Amérique, dans le respect total de nos traditions authentiques distinctes, tout en tenant compte de la créativité et de la débrouillardise des différentes branches du Bouddha-Dharma se sont installés dans le paysage américain. Nous pouvons tous nous inspirer, nous aider et créer des réseaux les uns avec les autres, sans confusion ni mélange inapproprié de nos traditions. ”

Rinpoché aimait raconter les histoires de ses propres professeurs et souligner l'importance de la dévotion, citant souvent Dilgo Khyentsé Rinpoché, qui a déclaré: "La dévotion est l'essence du chemin." Pourtant, selon Charles Tart, il "encourage ses étudiants à diriger leur dévotion vers ses professeurs plutôt que vers lui personnellement, même si la plupart du bouddhisme tibétain met énormément l'accent sur la dévotion envers son professeur".


LE LIVRE TIBÉTAIN DE LA VIE ET DE LA MORT


En 1983, Rinpoché rencontra Elizabeth Kübler-Ross, Kenneth Ring et d’autres personnalités des professions de soignant et de la recherche sur la mort imminente, et l’encouragèrent à développer son travail en ouvrant les enseignements tibétains sur la mort et à aider les mourants.

Rinpoché a continué à enseigner à travers le monde. Puis, en 1989 au Népal, Rinpoché a rencontré Andrew Harvey et l’a invité à participer au projet. À propos du processus d’écriture, Patrick Gaffney, co-éditeur, a déclaré: "Un livre n’a probablement jamais été écrit de manière aussi inhabituelle."

Le Livre tibétain de la vie et de la mort a été lancé aux États-Unis en septembre 1992, où il a été hautement applaudi et a passé plusieurs semaines en tête des listes de best-sellers. Il a ensuite été publié au Royaume-Uni, en Australie et en Inde, puis traduit en allemand et en français. À ce jour, plus de trois millions d'exemplaires ont été imprimés dans 34 langues et 80 pays.


Sogyal Rinpoché et Jon Kabat-Zinn,
conférence internationale bouddhisme et médecine,
Lérab Ling, 2010



CONFÉRENCES ET ÉVÉNEMENTS

Rinpoché était un orateur régulier lors de conférences à travers le monde, abordant des sujets tels que le bouddhisme dans le monde moderne, la mort et la mort, la méditation et le bonheur.

En 2004, il a été orateur principal au Parlement des religions du monde, où plus de 8 000 responsables religieux et laïcs se sont réunis à Barcelone en Espagne pour discuter des problèmes de la violence religieuse, de l'accès à une eau salubre, du sort des réfugiés dans le monde, et l'élimination des dettes des pays en développement.

En août 2008, il a rejoint Robert Thurman à l'institut Aspen d'Aspen, dans le Colorado, pour parler de "l'héritage bouddhiste unique du Tibet" dans le cadre d'un symposium intitulé "Sa Sainteté le Dalaï Lama à Aspen: une célébration de la culture tibétaine". avec la conservation pour l'art et la culture tibétains.

En octobre 2010, il a prononcé un discours liminaire sur "Le bouddhisme tibétain dans la culture occidentale moderne" lors de la Conférence internationale sur le bouddhisme tibétain qui s'est tenue à l'Université Emory.

En 2011, il a été conférencier invité et membre de la congrégation mondiale bouddhiste à Delhi, qui a réuni «des dirigeants religieux, spirituels et mondiaux, ainsi que 800 universitaires, délégués et observateurs de 32 pays». L'objectif était d'examiner à la fois la capacité et la résilience du bouddhisme à faire face aux préoccupations les plus pressantes du monde moderne, à savoir la violence, les disparités sociales et économiques, la dégradation de l'environnement et la discorde entre et au sein des communautés et des nations "et" à contribuer à la promotion et à la promotion de la paix, de l'harmonie, existence et une responsabilité partagée au milieu de la diversité des cultures, des communautés et des nations."

En 2012, il a prononcé un discours liminaire à la conférence Happiness and Its Causes à Sydney.

LA MORT DE SOGYAL RINPOCHÉ
Sogyal Rinpoché est décédé le mercredi 28 août 2019 à la suite de complications survenues au cours d'un traitement contre le cancer. Trois jours après son décès, il est resté en tukdam, moment où un pratiquant réalisé continue de respecter la reconnaissance de la nature de l'esprit après le moment de sa mort.

© 2018 Sogyal Rinpoché



-=oOo=-

Hommage aux précieu maître !
Sogyal Rinpoché joue donc un grand rôle ainsi que le Sangha de Rigpa pour clarifier et dégrossir les conditionnements les plus grossiers par l'étude, l'échange, la pratique formelle mais surtout la pratique naturelle de la méditation, et ses clarification sur l’éveil et la façon d'être au quotidien pour restaurer cet état naturel, c’est à dire demeurer : présent, spacieux, attentif, vigilent, soigneux, enthousiaste. En lâchant prise de la maladie qui vient perturber cet état ou cette façon d'être que nous sommes originellement.

Il est mon lien direct avec :


Guru Rinpoche, Padmasambhava, Le second bouddha historique, Précieux Maître des la lignées Indo-tibétaines
ici représenté par la statue dite « Nang Dragma », « elle me ressemble » par Padmasambha lui-même « Le Né du Lotus »

sans père ni mère, sans cause ni condition,
des Sagesse et Compassion de tous les bouddhas
unis en Amithabha , le Bouddha de Lumière Infinie.


Jamyang Khyentse Chöky Lodrö Rinpoché
qui a reconnu Sogyal Rinpoché et
son épouse spirituelle la tente de Sogyal Rinpoché

Khandro Tsering Chödron Rinpoché
qui l’ont élevé et éduqué dans sa petite et jeune enfance.

Düjom Rinpoché,
qui a continué à former Sogyal Rinpoché et à l'introduite
au Mahamoudra et au Dzogchen après le décès de
Jamyang Khyentse Chöky Lodrö Rinpoché puis

Dilgo Khyensté Rinpoche
qui a continué de le former et
à l'introduire à la nature de l'esprit
au décès de Dujöm Rinpoché ainsi que

Nyoshul Khen Rinpoché,
qui a continué à instruire et introduire Sogyal Rinpoché à la Nature de son Esprit au décès de Dilgo Khyentse Rinpoché

ses propres Maîtres dont il nous a transmis les bénédictions vivantes, car je ne les ai pas connus directement de leur vivant. Pourtant j’aurais pu rencontrer les trois derniers : Khandro Tsering C. Rinpochée (Soeur de MayoumLa) présente durant la retraite de trois ans à Lérab Ling où demeure son stupa et sa présence, Dilgo Kyentse Rinpoché -dont la réincarnation, Yangsi DKR, est venue en 2010 donner un enseignement à LL- et Nyoshul Kyentse Rinoché avec qui, en date anniversaire quasiment, il est certainement parti en Parinivana). Ces Maîtres qui ont aussi bénis ces lieux de leur vivant donnant cette présence sacrée au lieux et centres de retraites où ils ont enseigné, maintenant décédés, leur jeunes réincarnations donnent un sens à nos prières de Longue Vie de ces précieux guides, et leur futures incarnation pour ceux récemments décédés.

Maintenant, la suite de cette page est en travaux pour mise à jour (des photos ont sauté quand je les ai archivées pour gagner de l'espace lol remplacées  les vidéo en ligne sur youtube) du fait que depuis 2011 les déces se succèdent et que je n'ai plus eu le temps de terminer cette mise à jour et ces homages. Car j'ai repris le travail et et les études professionnelles depuis que ma santé s'améliore (se stabilise depuis 2014) mais pas celle de mes maîtres (malades depuis des années bien qu'enseignant toujours quasiement jusqu'à leur décès et, au delà). C'est le décès de Sogyal Rinpoché me fait revenir sur cette page que j'avais laissée en bouillon, depuis je ne sais combien de temps, le décès de KTCL (mi mai 2011) ou ma reprise à plein temps (septembre 2012) ou la fin de la dernière partie de la retraite de 3 ans en ligne et en vif (2013, jamais finie car ma retraite est le quotidien laborieux) ou depuis le décès de CNNR (fin septembre 2018).

En effet, suite à vos commentaires, je me suis relue et vu que de l'eau à coulé et m'a purifiée, l'air à soufflé et m'a stabilisée, le feu à brûlé et m'a réconfortée, la terre s'est révélée et m'a assagie, l'espace m'a ouverte et clarifiée, depuis ma première rédaction et qu'il manquait de nombreux autres maîtres rencontrés depuis, notamment durant la retraite de trois ans, auxquels rendre cet hommage et souhaiter Longue Précieuse Vie ...

Je ne suis plus retournée à Lérab Ling depuis 1997, mais y suis restée connectée par la pratique, la Dévotion et la Compassion du Précieux Maître, Sogyal Rinpoché, toujours présent même à des kilomètres et au soin du Sangha que j'ai longtemps eu du mal à fréquenter pour raison de santé et/ou économique, ne pouvant me déplacer ou m'offrir des retraites se sachant toujours pas demander ni m'absenter des devoirs et obligation de cette condition humaine en activité chargée d'où s'effectue la libération intérieure.

Avant la retraite de trois ans à Lérab Ling :

Mes maitres du Sangha de Rigpa :

Ceux que j'ai rencontré depuis 1996 sont :

Tulku Thondup : venu à l'invitation de Sogyal Rinpoché, pour présenter son ouvrage "L'Infini Pouvoir de Guérison de l'Esprit" apportant au Sangha ses enseignements précieux en matière de guérison et de bonheur permanent. Alors (1997-10-23) j'ignorais, surprise de recevoir un tel enseignement, qu'il me serait utile si tôt, ne considérant pas alors la maladie et la mort comme des obstacles, tant je les voyais constituer nos vies.

Philippe Cornu, (à la FNAC, en point Sagesse, au Seeil, Padamakara et autres Editions, et à la Sorbonne) disciple avancé et grand érudit qui m'a énormément aidée dans l'étude par ses nombreux ouvrages très détaillé dont, Encyclopédie du Bouddhisme, et ses traductions incontournables dans l'étude. Puis son enseignement dans les universités bouddhiques francophones, et dans le cadre du Shedra (étude approfondie du Dharma sous son aspect historique et linguistique mais aussi pratique) au sein de Rigpa France qu'il préside/a présidé (cela change à chaque AG, loi 1901).

Ceux que je connaissais mais rencontrer directement dans ma ville seulement durant la retraite de 3 ans (pour la compléter). En effet, contrairement à ce qu'on vécu les maîtres du passé de l'Inde et du Tibet, les étudiants devaient voyager longtemps à pied à la recherche de leur maître dont souvent ils ne rencontrait plus que les disciples car ils étainet déjà décédés à leur arrivée (on peut dire que que j'ai la bonne fortune d'avoir rencontré des maîtres qui voyagent vers leurs étudiants) :

Khandro Mindrolling Rinpoché : rencontrée entre 1995 et 1996 par échange d'e-mails avec le secrétariat monastique de sa nonnerie au nord de l'Inde, quand mon souhait était de la rejoindre, cherchant un maître féminin, elle(s) m'avai(en)t répondu qu'il n'était pas nécessaire de se déplacer en inde pour étudier et pratiquer le Buddha-Dharma car il existait des concrégations et des centre laïcs en occident et qu'il n'était pas nécessaire de devenir moniale pour pratiquer et réaliser l'éveil. D'autant que j'étais déjà mariée, autant rester laïque et faire des retraites à tour de rôle, voire ensemble puisque nous étions déjà tous les deux engagés dans cette étude. Ceci avant de connaître Sogyal Rinpoché et la tradition du Douddha-Dharma vivant en occident et qui plus est en France. Le l'ai finalement rencontrée en 2010 durant la retraite de 3 ans en intégration au quotidien occidental, lorsqu'elle est venue enseigner justement sur une étape de mon chemin en cours à ce moment là.


Dzogchen Rinpoché (le 7ème) : le petit frère de mon maître, son demi-frère par Mayoum La, rencontré alors via ses disciples pratiquants hébergés dans ma ville au centre de Kalou Rinpoché, quand je n'arrivais pas à me rendre à Lérab Ling lorsqu'il y enseignait comme il le fait encore régulièrement. Et que j'ai rencontré en 2009 et 2010 durant la retraite de 3 ans en intégration au quotidien occidental.

Les maîtres d'autres Sangha :

Ceux que j'ai fréquenté à cette époque (avant les 3 ans tronçonnés) :


Namkhaï Norbu Rinpoché (à gauche à l'époque) : rencontré en retraite dans ma ville en novembre 1998, année d'inauguration de Dejam Ling par la Communauté Dzogchen France. Je le considère comme mon père de stabilisation adamantine dans le Dzogchen, tout aussi important que Sogyal Rinpoché mon Lama Racine que je considère comme ma mère de naissance au Dharma introduisant à la Nature indestructible et immuable de l'esprit d'éveil. Chögyal Namkhaï Norbu Rinpoche, est mon lien direct avec l'essence primordiale représenté par le bouddha primordial Samanthabadra (sk) Kuntouzangpo (tib) dont le premier maître humain de la lignée originelle Dzogchen est Prahevajra (sk) Garab Dordjé (tib).

En effet, tout ce que j'avais intérieurement compris avec Sogyal Rinpoche et par son intermédiaire avec Dilgo Khyentse Rinpoche, l'union, l'unification de tous mes maîtres tel le Bouddha s'est faite secrètement en sa présence. L'Ati yoga (ou Dzogchen), déjà présenté par mon maître racine Sogyal Rinpoché, la voie qu'il transmet, son souffle, est toujours présent nuits et jours, même lorsque, saisie dans les pensées ou les émotions, piètre pratiquante, je n'y suis plus (devant faire aujourd'hui avec la SEP, maladie chronique qui me fait si bien savourer le samsara, embrassé désormais par compassion, plus le choix je m'y étais engagée, fruit de mon karma passé que je transforme ou considère étant Support d'Eveil Parfait, comme un précepteur dépêché secrètement par mon maître, sa ou ma Bodhicitta, et considéré ainsi tout est vraiment parfait !
On pourrait dire, si les choses étaient séparées, mais ce n'est pas le cas dans le Dharma et en core moins dans le Dzogchen (Grande Perfection), que Namkhaï Norbu Rinpoche est mon maître de pratique et de transmissions, insistant sur la présence et l'énergie des trois portes dans le vaste espace de l'esprit naturel selon en particulier le Longde (série liée au corps), et que Sogyal Rinpoché mon Maître de présentation, d'étude, d'accumulations et de réalisations, (selon les séries Semdé -esprit- et Menangdé -instructions essentielles- du Dzogchen) en insistant sur la compréhension juste du Longchen Nyinthink et sur l'entraînement à l'esprit d'éveil sur la voie de l'accumulation et de la vision durant la retraite chez-soi dispensée par Rigpa international de 2006 à 2013 en parallèle et par module chez-soi (tronçonnée pour vie affairée et maladie), grâce au net, car pour tout pratiquant du Dzogchen l'intégration directe au quotidien est le mandala (univers) d'application et de réalisation dans la condition et les circonstances présentes (que nous avons fabriquées).

Il Namkhaï Norbu Rinpoché (à gauche à l'époque où je l'ai rencontré) est décédé le 27 septembre 2018, après une année de pratiques plus intensives dans le Vue pour sa guérison puis aussi plus intencément en 2017 pour la guérison de Sogyal Rinpoché décédé le 28 aout 2019, présence dans la Vue.

Lama Tsering venant de Karma Ling intronisé par le Vénérable Kalou Rinpoché I : rencontré au CBTM et au Refuge (1998-09-25) pour la compréhension de la notion d'Anatha, le non soi sans la réalisation du quel on ne peut pratiquer de façon juste.
Lama Wangmo venant de Karma Ling intronisée par le Vénérable Kalou Rinpoché I : rencontrée avec son époux, également Lama de sa promotion et, leur petite fille déjà désireuse de prendre Refuge, pour des sessions d'étude et de pratique fin 1998 (les 11-13 , 12-18 et 12-22). Elle m'a surprise en plein sadhana dans la véranda du temple de Kalou Rinpoché dans ma ville de naissance en réabsorbant Tara Verte que je méditais alors (oups ! mon esprit ! wouahou lol). Comme mon époux et frère de Vajra, j'ai tenté alors de prendre un Refuge formel avec elle, mais cela ne s'est jamais fait (pas assez rapide pour me lever le recevoir ? lol mes consoeurs et confrères confondant alors prise de Refuge et mêlée de Rugdy) nous avons passé de belle soirée dharmiques où les enseignements se prolongeaient à table, si longues que j'ai chaque fois fini par rester dormir la nuit dans le temple continuant à y pratiquer au réveil et la fin du week-end partant du temple pour me rendre au boulot. Je restais cependant connectée à Sogyal Rinpoché et Namhhaï Norbu Rinpochés.

Gueshe Lobsang Tengyé Rinpoché, dit Gueshé La : rencontré la première fois en 1988 (les 27,28 et 29) pour une retraite de Delam Rim avec le texte qu'il commente La Roue aux Lames Acérées et en novembre 1999 (9 et 10) pour une retraite des 21 Taras (où je me suis retrouvée complètement végétarienne en accompagnant une amie pour prendre Refuge car il n'y avait pas assez de moniale dans l'assemblée, c'est certainement que j'ai confirmé cet état de renoncement à la souffrance). Ce qui ne m'a pas empêchée de me torde la cheville le lundi suivant et de de la compliquer en phlébite (hé quoi ? je pouvais tout aussi bien faire un corps d'arc en ciel tant que j'y étais, mais ce n'était pas ça mon bon karma ;/) :D

Lama Tempa Gyamtso Rinpoche, est le maître, grand pratiquant (yogi) Kagyupa, qui m'a permis de comprendre l'importance de la dévotion dans la pratique de la parfaite discipline et le fruit de la persévérance ainsi que la puissance des souhaits et de la pratique solitaire et silencieuse. Cela dans le respect d'une vue juste, simple, détachée des phénomènes et des êtres, dans la reconnaissance en grande compassion de leurs modes d'existences.

Bokar Rinpoche (déjà installé en sa dernière retraite pour éduquer Yangsi Kalou Rinpoché) étant le fils du coeur du Vénérable Kalou Rinpoché (que je n'ai pas connu de son premier vivant, ni encore de son dernier sauf en photo récits nouvelles et videostreaming en direct), qui était détenteur des multiples traditions Kagyupa, Karma et Shangpa Kagyu du Mahamoudra et du Dzogchen.

Lama Cheuky, à leur suite, le responsable et fondateur des Editions Claire Lumière.

Mogchok Rinpoche, rencontré dans le même centre lorsqu'il arrivait en France, quand je me préparais à la retraite de trois ans avec mon maître, m'a permis de faire quelque retraites de rappel de Majushri, du Chöd, m'expliquant aussi le principe de libération des êtres sensibles du monde des animaux, selon les traditions Karma et Shangpa Kagyu.

Ceux que je n'ai pas rencontré à cette époque mais dont j'ai bénéficié des précieux enseignements :

Chögyam Trungpa Rinpoché, ce maître déjà décédé (mais celui de mon époux de Vajra, également disciple de Suzuki Roshi) ce Maître de folle sagesse qui a vécu si intensément nous mettant en garde face à nos propres leurres sur la voie, est également recommandé par Sogyal Rinpoché. Il m'a donc toujours accompagnée également. Avant la Retraite de 3 ans à Lérab Ling j'ai un peu fréquenté Shambala son sangha, il continu de m'inspirer pour le Lodjong qu'est cette Précieuse Vie Humaine.

Thich Nhath Hanh (Thai) : également présenté par Par Sogyal Rinpoché pour ses enseignements et ouvrages Thai propose, au Village des Pruniers, un mode de vie très concret de non-violence dans la pleine conscience. Bon et prompt rétablissement, Longue et heureuse vie Thai !

Ganteng Rinoché : auteur de "L'Escalier de Crystal" en trois volumes, un précieux guide très inspirant, j'ai rencontré ses disciple au CBTM.

Löpon Tenzin Rinpoché : détenteur de la tradition Dzogchen Yundroun Bön, voie procédant du point de vue de l'Eveil lui même.
Tenzin Wangyal Rinpoché : tenant de ces deux dernières approche, ses ouvrages guide de pratiques y introduisant parfaitement aussi.

Lama Samtcheu et Lama Puntsok : j'ai rencontré à leur contact via un tchat en ligne Guendune Rinpoché : dont les enseignements et de nombreux ouvrage étaient mis en ligne par leur sangha, prémise de cyberbodhisattvas, me permettant de réviser déjà d'une manière autrement accessible via le net quand je ne pavenais plus à rejoindre mon propre sangha (car déjà bloguée par la maladie, phlébite).

Lama Denys Thendroup succédant à Kalou Rinpoché à Karma Ling au Domaine d'Avalon en Haute Savoie, directeur spirituel du Sangha Rimay lié par une entente fraternelle à la Communauté Dzochen pendant ma retraite de 3 ans.

Pendant et après la retraite de trois ans à Lérab Ling :

Les maitres du Sangha de Rigpa :

Ceux que j'ai fréquenté à cette époque :

Khandro Mindrolling Rinpoché : rencontrée dans ma Ville invitée par MogchokRinpoché, pour clarifier la pratique des TsaSoum (les trois racines) alors que ma Retraite en parallèle continuait.

Dzogchen Rinpoché (le 7ème) : rencontré à deux reprises essentielles dans un espace œcuménique du diocèse de ma ville pendant ma retraite parallèle pendant et après la retraite de trois ans de Lérab Ling sur deux enseignements très important dans la pratique et l'attitude importants.

Avec ses maîtres et bien d'autres qui ont complété ces formations à Rigpa, en ligne et que ne n'ai pas encore rencontrés ailleur que sur le net, en direct, ou en différé, lors de retraites chez soi.



Deux lumières essentielles, autant que je puisse les suivre, c'est à dire, selon la persévérance détendue, la purification ou clarification et leur présence spirituelle, la confiance dans les maîtres et l'enseignement, la dévotion joyeuse et vigilante à la Bodhicitta (esprit d'éveil), Sagesse et Compassion. C'est avec une pensée particulière pour François Calmès qui fut leur disciple (et pour moi, le traducteur de Namkhaï Norbu Rinpoché) que je regarde cette photo où main dans la main (poue le 50tenaire du parinirvana de Jamyang Kyentse Chökyi Lodrdro Rinpoché) ces deux Précieux Maître me transportent de joie sereine et vaste (Sublime mère d'éveil en Sogyal Rinpoché et Sublime père d'éveil en Namkhaï Norbu Rinpoché). Plus besoin de les rencontrer même si ce serait une immense joie de recevoir à nouveau leur présentation directe de la Nature de l'Esprit.

Ainsi, je n'ai toujours pas revu Sogyal Rinpoché restant soutenue à distance et localement par le Sangha de Rigpa, ni Choegyal Namkaï Norbu Rinoché, restant également soutenue à distance par ses webcast ouvert à tous (car je ne suis pas membre adhérente de la Communautée Dzogchen, si je le suis de fait).

Ainsi mes deux maîtres principaux se rejoignent comme l'étude et la pratique ou le vaste et le profond qu'ils incarnent différemment en apparence tous deux mais absolument d'un goût unique. Dans le Dharmadatu désormais, l'espace infini et libre de mon propre esprit de sagesse d'amour et compassion équanimes pour autant que je maintienne cette motivation incommensurable.

Ils m'ont tous beaucoup aidée et cela continu inséparablement sur cette voie incroyable. Aussi, il m'est impossible de leur rendre pleinement hommage, je ne peux que souhaiter la longue et ferme vie authentique de leurs précieux enseignements et activités éveillées par leurs Nobles Sanghas (Communautés de yogi et érrudits) et tous leurs étudiants présents et futurs.

Sarvamangalam
Karma Detchen Lhamo yin

3 commentaires:

  1. Bonjour je viens replacer sous la page concernée un échange publié sous une autre page du blog :

    Tenzin Zangmo 9 juillet 2014 12:47
    Geshe Lobsang Tengye n'est pas un Rinpoche,
    Merci de bien vouloir rectifier cette erreur,

    Réponse :

    Detchen12 juillet 2014 08:30
    Bonjour Tashi delek Tenzin Zangmo

    êtes vous sure qu'on parle de la même personne ?
    (peut-être si j'ai mis sa photo, et le connaissez vous très bien ?)

    Cette considération ne concerne que la personne qui s'adresse à une autre (et je reprécise ici et maintenant -sam 12/7/14- que je n'en fait pas un titre mais une marque de respect et de reconnaissance personnelle)

    D'ailleurs, si je le considère comme tel cela me regarde et n'engage que moi
    et donc sur ce blog ce que je dis n'engageant que moi, on est libre de s'exprimer et de motiver ses propos.

    Ainsi, motivation clarifiée, je ne retirerai pas cette appellation qui m'est propre le concernant (entre autres frères et sœurs de Refuge et Bodhicitta peut-être, je ne sais pas comment chacun considère ses maîtres, ou ce maître, il y a le respect, la dévotion, la loyauté, et la sagesse).

    à chacun sa dévotion et à chacun ses bénédictions ;))
    je ne fais ni politique ni sectarisme mais me place sur le terrain de la dévotion pure et des accomplissements

    Merci Tenzin Zangmo pour votre contribution
    sarvamangalam
    Detchen à tous !

    RépondreSupprimer
  2. Bonjour,
    Que pensez vous des douleurs neuropathique.
    Merci de votre attention.
    Bonne journée.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour Joëlle,

      Merci pour votre contribution, bonne question, en effet.

      Je n'en pense rien, je les vis au quotidien et les intègre à ma pratique lorsque les antalgiques sont insuffisants.

      Car elles sont générées par de nombreuses causes et conditions.
      Et notamment des causes karmiques (des actions passées).

      Lorsqu'on demeure dans la Vue, c'est à dire en Thatagatagarba / DeshekNyingPo / Nature Eveillée ou en Shunyatha / Tonpanyi / Vacuité-plénitude si vous comprenez ce vocabulaire* (*sanskrit / tibétain/ français les traductions sont multiples), je vous assure que l'on expérimente combien les douleurs sont illusoires, de simples perceptions conditionnées.

      Surtout les douleurs neurologiques, dans la SEP notamment, qui sont des réponses erronées du cerveau, de simples alertes, d'ailleurs toute douleur, n'est qu'une alerte, une information de noter corps illusoire, materiel.

      Il suffit de tenir compte de ces sensations, sans pour autant s'y attacher, sinon nous les empirons et ne pouvons pas nous en soulager (trouver le remède approprié d'un point de vue relatif), et encore moins nous en libérer (d'un point de vue absolu).

      Donc, elles sont partie de notre réalité et nature relative (un conditionnement), qui est illusoire d'un point de vue de notre nature absolue (inconditionnée).

      Autrement dit, sans saisie egotique (= liée à une compréhension limitée ou erronée de soi ou de l'expérience ou des phénomènes) ici des douleurs, et en les accueillant comme partie intégrante de notre expérience, on peut s'en libérer.

      Si vous ne pratiquez pas la méditation qui nous permet de lâcher prise de cette saisie, la sophrologie est une pratique guidée qui peut aider et soulager les personnes assaillies de douleurs.

      Mais, ce n'est pas non plus une baguette magique et, il convient, comme pour la méditation dans la Vue, de comprendre et pratiquer cela correctement aussi, même si cela semble plus accessible.

      Bonne journée chère Joëlle.
      N'hésitez pas à me signaler si je ne suis pas suffisamment claire.
      Merci pour votre attention également.

      Soyez heureuse et paisible quelles que soient les circonstances relatives.
      Detchen !

      Supprimer

Vous êtes chaleureusement invités à déposer un commentaire, à poser vos questions pour des Vues inspirées.

Soyez libres de vous exprimer en pleine conscience.

Le message sera modéré si nécessaire après publication (karma implique responsabilité et oui :)

GRAND MERCI pour vos contributions !!!!

Detchen !